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Yukiko the Witch

Yukiko the Witch

Le projet Yukiko the Witch voit le jour en 2001 avec un premier album autoproduit, intitulé "Ribcage of a Pineapple Lambscape".
Ce disque, qui constitue une première exploration de la musique Folk pour James Martin, n’est que le début d’une longue série de pas moins 18 opus autoproduits en 6 ans.

Au-delà de la musique, c’est un véritable univers surréaliste qui se crée au fur et à mesure des enregistrements, puisant notamment dans la culture japonaise.

Dans un premier temps en solo, James Martin est rejoint en 2005 par Franck Claise, qui redynamise les chansons et inspire l’album éponyme « YUKIKO THE WITCH », enregistré en 2005/2006 avec Yukikoflowers, une association qui promeut des artistes français.
Cet album très remarqué, convoité par la critique, sortira le 2 décembre 2006.

L’album « YUKIKO THE WITCH » aborde le thème de l’Asie, de manière plus ou moins personnelle, abstraite.
L’écriture n’est pas exclusivement autobiographique, et tend vers d’autres domaines que les membres du groupe exploitent : la peinture, la lutherie et la sculpture.

A l’instar de la peinture, le groupe aime tenter de retrouver la paix dans le chaos, de saisir toute sensation vécue et l’épingler sur la peau d’une toile ou d’une chanson.

Une logique globale découle du patchwork, inspiré des décharges publiques où la beauté émane de la dégradation temporelle de ces amas de la société.

En musique, et plus particulièrement dans ce dernier projet, cette idée est exprimée par la volonté de simplifier à la japonaise la structure des chansons et d’aller à l’essentiel.

Il était donc tout naturel pour Yukiko the Witch de se produire au Japon lors d’une tournée (Juillet 2006).

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