Le nom Wes Waltz (la « Valse de Wes ») est issu de l’époque du 1er batteur de ce groupe qui comptait les temps d’un des premiers morceaux à la pulsation punk (le morceau éponyme « Wes Waltz ») comme ceux d’une valse, et qui s’appelait Wesley…Après quelques désaccords et un divorce consommé sur fond (glauque) de gothique atmosphérique et de compagnie d’ambulance privée, ce morceau, et ce groupe lui sont dédiés. Et ceux qui le connaissent en rigolent encore.
“ That fucker Wes counts one, two, three
To the beat to the beat to the beat
Come on!
That fucker Wes counts one, two, three
To the beat to the beat
Oh yeah!
You’re unwelcome to the Wes Waltz GO!
You’re unwelcome to the Wes Waltz NO! ”
Wes Waltz, “More is More”/2010
Wes Waltz est un groupe Lillois de Funk Hardcore créé en Décembre 2009. Funk Hardoce ? Un style mêlant groove extrême et énergie punk qui ne l’est pas moins.
» The 80’s back Hardcore Funk you wanna rap » comme ils se décrivent, ou encore » Funk No Limit « . Des appellations qui résument bien l’état d’esprit et l’énergie que le groupe envoie en live, à coups de gros riffs et de refrains scandés sur des rythmiques speed.
Influencés à la fois par la funk (P-Funk, James Brown) mais aussi par le punk (The Clash, Minor Threat, Dead Kennedys) et tout ce qui groove en général (Fishbone, les Red Hot Chili Peppers de 1989, Public Ennemy, Wu Tang Clan, Beastie Boys, Jimi Hendrix), Wes Waltz s’est formé en 2009 autour de Yassine Boudlal (guitare) et Clément Braeckman (Basse) amis depuis le lycée, rejoint ensuite par Nicolas Croissant (Batterie) lors d’un concert de Punk Hardcore au Détour.
Après une vingtaine de dates sur la métropole Lilloise, ils enregistrent leur EP 6 titres « more is more », et continuent ensuite à composer et jouer, multipliant les expériences de scènes et les rencontres avec des groupes d’une très grande qualité musicale, ce qui leur a beaucoup apporté.
Leur 1er EP sera disponible à partir du 20 avril 2011, dont quelques titres sont dors et déjà en écoute sur leur Myspace :
« Gran ma Woodpecker », est titre en l’honneur d’une SDF du métro Lillois, « Painted Face » raconte l’histoire d’un de ces fameux clowns méchants qui peuplent les histoires effrayantes depuis que nous sommes petits, ou encore « Robert Johnson’s Rock in Rio », qui prévoit le retour du mythique bluesman Robert Johnson pour sa première tournée diabolique hors des Etats-Unis.
Heureux sélectionné du dispositif le Tour de Chauffe 2011, nul doute que Wes Waltz va tout faire pour aller vers un plus grand nombre de scènes, plus grandes et plus variées, tout en profitant de cet accompagnement professionnel qui apporte beaucoup par ses formations sur le plan scénique, technique et pratique, et leur offrant au passage la première partie d’un artiste international, une résidence au Nautilys ainsi que deux jours d’enregistrement studio prévus pour Août 2011.
Pressage de l’EP, résidences scéniques, compos énervées, concerts réguliers en Belgique et tournée en Bretagne, recherche de label… autant de projets pour 2011 que Wes Waltz compte bien mener à bien.
