El Royce - En 2002, EL ROYCE se forme autour de deux nantais bien connus de la scène locale (Chears, Divine Furia, Fools, UZY) et d’un clermontois d’origine anciennement exilé à Londres (Delicate Awol). Les garçons ont déjà pas mal de kilomètres sous le pied et ont écumé quelques podiums mythiques (La Cigale, La Loco, Le Gibus, Le Rex Club, La Cité-Rennes, les Trans’off, L’Olympic-Nantes…) avec plusieurs centaines de concerts en clubs en France comme à l’étranger. Basé à Nantes, le Power Trio n’a de cesse de poursuivre sa quête, à savoir : écrire des titres puissants et mélodiques, monter dans le van et prendre la route, se jeter sur scène et se faire plaisir.
La légende raconte que le nom du groupe est tiré d’une grosse private joke suite à une erreur de copier/coller par l’auteur de l’encyclopédie « La Fabuleuse Histoire du Rock Nantais ». Rien à voir donc avec une quelconque marque d’automobile... Si ce n’est un sérieux penchant pour les grosses mécaniques, lourdes et bruyantes. Durant les premières années le combo connaît une première phase de jeu, dont seront tirées une première démo « Diesel » (CDR 8 titres 2003) suivie d’une seconde « Direct Live » (CDR 5 titres 2004).
En 2005, EL ROYCE doit opérer quelques petits ajustements de personnel et c’est en duo que le groupe entreprend durant l’été les sessions au studio Audiocapsule avec Chris Hogommat aux manettes. En septembre, le trio revient avec un nouveau line-up et reprend le chemin des répétitions pour bâtir un nouveau set punchy à souhait. Mixé durant l’automne, le nouveau CD (EP 4 titres) sort en mars 2006 sur le label du groupe (Novatrax) et reçoit un accueil favorable dans la presse et les radios indés. EL ROYCE peut reprendre la route. C’est désormais Richard Royce (chant/guitare), Steff Royce (basse/voix) et Yann Royce (batterie/voix).
Enchaînant les kilomètres, le trio se pose comme un véritable groupe de scène, avec notamment le véritable travail d’abatage réalisé par Steff leur bassiste (sorte de croisement entre Gene Simmons et Angus Young). Parallèlement, les aventures de EL ROYCE sont relatées par Richard dans un blog hilarant, depuis les festivals ruraux dans la remorque de camion jusqu’à leur rencontre avec le dieu vivant Jim Marshall. Le site du groupe devient également fameux auprès des internautes avec ses précieux conseils prodigués par Yann sur « comment gérer sa page MySpace » et les sites communautaires en général (il fera l’objet d’une interview dans Technikart sur ce sujet).
Entre novembre et décembre 2007, EL ROYCE reprend le chemin du studio Audiocapsule, toujours sous la houlette de Chris Hogommat, cette fois-ci pour un long format. Premier véritable enregistrement avec ce line-up, la plupart des titres ont été rodés sur la route, certains depuis presque deux ans. Plusieurs nouveaux morceaux cependant font leur apparition tardivement, dont deux totalement réalisés lors des sessions. Mixé en janvier 2008, le mastering est confié à Damien Bolo du studio Spectrum Production. Musicalement, le trio se fait plaisir et n’hésite pas à puiser librement son inspiration parmi les légendes qui ont bercé leur jeunesse (AC/DC, Motorhead, Ramones, Motley Crue, Iron Maiden, Van Halen) et quelques représentants de la jeune garde (At The Drive In, Billy Talent).
Sorti en novembre 2008 toujours chez Novatrax, l’album « What You See is What You Get » comporte 13 titres, des guitares en avant, des refrains catchy, de l’attitude et une bonne dose de fun. L’artwork n’hésite pas à faire appel à quelques vieux clichés Rock’n’Roll... Heavy Rock ? Punk’n’Roll ? Power Pop ? EL ROYCE c’est le Punk sans les chiens, le Hard Rock sans le moule-burnes et la voix de castra qui va avec, l’Emo sans la mèche, ni le jean’s slim.
Poncharello - Depuis 2004, dans le Nord, le quatuor PONCHARELLO rêve de pulvériser le mur du son. Son premier disque "Fuzz You" donne la (dé)mesure de sa potion haute énergie qui emprunte à toutes les musiques d'excités (rock'n'roll, punk) avec une prédilection pour le hard rock des années 70. Priorité aux riffs ravageurs, aux rythmiques rentre-dedans et à un culte de l'énergie qui ne s'autorise que peu de baisses de tension.
