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Gong Gong et Sayag Jazz Machine à la Condition Publique

Le public fait son entrée dans la Condition Publique de Roubaix… Pas de tapis rouge comme au Festival de Cannes ! Mais une expo photo pour (re)découvrir des moments forts de cet événement international à travers l’œil des photographes. C’est la 60ème édition du Festival de Cannes : les Transphotographiques 2007 propose pour cette grande occasion un voyage dans le temps en mêlant cinéma et photographie.

Le public peut ensuite se diriger vers l’obscurité… Personne dans la salle ! Le staff veille à ce qu’il n’y ait pas de fumée dans la salle ! Mais le public profite surtout de cette journée ensoleillée jusqu’à temps que le gong retentisse… Jeu de mot facile pour annoncer Gong Gong ! A peine plongé dans l’univers de ce duo, le public est ramené à la surface par un problème technique. Pas le temps d’émerger, l’équipe technique assure ! Retour dans l’univers Electro et Jazz de Thomas à la contrebasse, à la basse, aux machines… et Jean-Christophe à la batterie… Ils partagent leur musique et leur énergie avec le public qui ne peut s’empêcher de bouger !

Impossible de rester dans la salle en attendant Sayag Jazz Machine surtout pour les fumeurs ! Le groupe s’installe : le public sait qu’il va écouter leur musique mais aussi voir leur univers en image. Trop hâte de découvrir où va nous emmener le groupe connaissant la pochette de l’album 😉 Sayag Jazz Machine nous fait entrer dans un véritable laboratoire… Première expérience proposée au public : tester le mélange d’Electro et de Jazz qu’ils ont concocté pour leur 3ème album « No me digas » ! Une explosion de sons et de lumières se produit alors ! Mais ce n’est pas la seule expérience dans ce laboratoire… La vidéo vient compléter la musique : Un cerveau..., un homme assis dans un fauteuil près pour une expérience… Nous voilà plongés dans l’univers de Sayag Jazz Machine ! Impossible d’écouter le CD sans voir le live : ils ont rendu les deux indissociables ! Le savant mélange des instruments classiques comme la flûte traversière, la contrebasse avec le clavier et les platines est réussi ! Le flot d’images emmène le public dans un film surréaliste. De vrais petits chimistes qui n’ont pas fini de trouver des formules pour créer cette musique universelle !

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