Un peu partout dans le monde, au Japon surtout, des retraités réduits sinon à la misère du moins à la précarité, préfèrent commettre un crime pour bénéficier du confort minimum garanti par les prisons : gîte, couvert, chauffage, santé…
Après Le Premier et le dernier, Anthropozoo et L’Homme de février, Gildas Milin, à la manière très contemporaine qu’on lui connaît, récemment revisitée par l’art du manga, a choisi ce fait de société pour le traiter à la fois comme symptôme et comme parabole.
Texte et mise en scène Gildas Milin
MA 11 DEC - Rencontre à l'issue de la représentation
MER 12 DEC - Cours public à 18h30 - Lille
JEU 13 DEC - Avant-goût à 19h30 - Tourcoing
Photo : Cyril Saulnier
