Durant un an, des femmes habitantes de Lille-Sud se sont engagées dans un dialogue avec Myriam Plainemaison et Matthias Crépel du collectif d’artistes Laboratoire d’humanité, accompagnées de Zahra Ouahla (association Itinéraires). Ensemble, elles ont échangé sur leurs vies, cherché les mots et images qui permettraient à chacune de prendre la parole. Entre le livre et la photographie, l’exposition "J'ai un cœur qui [se] bat" parle de leur force et de leur singularité.