Malgré un samedi pluvieux, la foule s'est déplacé au "400 clous" avec les pieds dans la boue et la tête dans l'imaginaire.
De la grande exposition commentée par de vrai-faux guides, le mien s'appelait Jean Marc Brouillon (bravo à lui) ; à une scène végétale à la programmation disjonctée ; en passant par un chapiteau explosif ; le festival des "400 clous" se veut ouvert et décalé.
Pour ceux qui ont raté, rendez vous l'année prochaine au bois de boulogne.