The Jacks s'est formé en 2008. A sa base, Victor et Max. Ils se connaissent depuis longtemps et c'est dans les cours de guitares de la maison des jeunes de Comines que l'idée du groupe de rock germe. Une réelle envie de composition guide le groupe depuis ses débuts, et les Jacks proposent très vite des morceaux originaux aux accents rock d'un autre temps. La composition actuelle du groupe est toutefois assez récente. Max joue la guitare lead, Vic la rythmique. Il fallait donc trouver un batteur, un bassiste et un chanteur. C'est parmi le groupe des (défunts) stincky fingers qu'ils ont trouvé leurs premiers acolytes. Grégoire est aujourd'hui à la batterie et Pierre, qui chantait (fort) dans les stincky, avait envie de passer à la guitare. Ils ont réussi à le brancher sur la basse, ce qui leur a enlevé une épine du pied : les voilà avec un bassiste qui sait chanter.
Ca peut toujours servir !
Le son des Jacks est né. Les premiers lives ont permis au public local de découvrir l'énergie rock de cette jeune formation. Pendant que les plus âgés retrouvent les riffs gras des grandes années rock'n'roll, les plus jeunes ne restent pas insensible et secouent la tête ostensiblement. Côté création, les Jacks se posent au Nautilys, salle de spectacle française qui propose des studios de répétitions à bon prix. Cela permet à Grégoire de taper aussi fort qu'il le veut, sans emmerder les voisins. A Max de faire ses vocalises et de répéter ses intros. Victor peut y laisser pousser sa barbe, tandis que Pierre peut sauter dans tous les sens et en tournant, ce qu'il aime par-dessus tout.
A partir de là, les projets s'enchaînent, les jacks séduisent surtout sur scène. Les compositions sont à la hauteur, les spectateurs enthousiastes. Les Jacks se produisent oµ ils peuvent et à force de travail, ils remportent le tremplin local du festival "J'veux du soleil" en 2009. Ils ont aussi remporté leur place en finale du concours national "Music Live" à Bruges en 2010, ainsi que le prix du ministre de la jeunesse lors de la finale francophone à Bruxelles. "Rock'n'roll is not dead ; Here's the proof."
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