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Nosotras de Macarena Gonzalez-Neuman – Collectif Merci larattrape Nosotras en espagnol veut dire « nous » au féminin.

Horaires: De 20:00 à 20:30

Prix :

  • 10 : plein
  • 6 : réduit (- de 18 ans, étudiant.e, demandeur.euse d'emploi, bénéficiaire des minimas sociaux, intermittent.e, Pass Seniors de la Ville de Lille, élève de nos ateliers, groupe de 10 personnes)
  • 3 : groupe (scolaires, ALSH, associations et adhérent.e.s du centre social Roger Salengro)

Comment réserver ?

Nosotras en espagnol veut dire « nous » au féminin.

Nosotras de Macarena Gonzalez-Neuman

Dans ce solo de contorsion, acrobatie, danse, théâtre physique et autres choses, Macarena parle ainsi de sa recherche : Qui je suis ? D’où je viens ? Elle nous dit : cette pièce est un voyage à la recherche de moi-même, une traversée par les diverses identités qui me construisent.

Toujours les mêmes questions au début de cette création : qu’est-ce qu’être pour moi une femme ? Et une femme argentine ? Et une femme argentine migrante ? Comment je suis ?

Les infos pratiques

Durée : 30 minutes
Contorsions féministes
Dès 16 ans
Dans le cadre du festival JE(UX) DE GENRE #6

Distribution : Conception du projet et interprétation : Macarena Gonzales-Neuman ; Assistance artistique : Lise Pauton ; Création et régie lumière : Caroline Laporte ; Costumes : Louise Combeau

Production : Collectif Merci Larattrape

Soutiens : Théâtre Massenet de Lille, Le Prato - Pôle national du cirque de Lille, Centre Régional des Arts du Cirque de Lomme, Studio Danse Création de Marcq-en-Baroeul, Compagnie Les fous à réAction d’Armentières.

Une proposition surprise viendra compléter cette soirée !

Stage " Flesh Dance " les 19 et 20 mars 2022
Avec Julie Botet et Mel Favre
Cie Sapharide
Mettons nos chairs à l'honneur durant cet atelier entre femmes où nos danses et nos rythmes feront naître de nouvelles vibrations.

Un mot sur festival : Qu’est-ce qui se joue dans le “je” ? C’est ce que nous proposons pendant ce festival : poser la question de l’individu et de son genre. On le sent bien : ce qui se joue dans l’intime, dans le personnel, dans nos corps, se frotte et affronte parfois ce que le corps social, politique, culturel a pu normer. Parce que normer, c’est circonscrire et enfermer : questionner le genre, c’est donc chercher à le libérer, à créer des espaces d’émancipation. Des mouvements tels que le queer et les féminismes ont cette volonté artistique et politique de créer ces espaces. A nous de laisser la place aux artistes d'aujourd'hui qui inventent et décortiquent les représentations de l’identité hors des codes et des normes dominantes. Histoire de nous bousculer joyeusement !

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