Fleuron de la salsa muffin après avoir brillé aux sons punk de Ludwig 88, SERGENT GARCIA sera à Boulogne-sur-Mer le mardi 8 décembre pour faire bouger la Faïencerie. A ne surtout pas manquer !
> SERGENT GARCIA y el sexteto iye ife ( "acoustical tour" )
Issu de la vague punk des années 80, Bruno Garcia, ex-guitariste du groupe Ludwig Von 88, tombe un jour son masque et opère un virage musical radical.
Sergent Garcia est né ! Désormais, libérateur de la rime, défenseur du rythme et instigateur de la salsa muffin, le sergent part à la conquête du monde avec sa musique.
Et ça marche. De Paris à la Havane, en passant par l’Europe de l’Est, l’Asie, l’Amérique Latine, cela fait une quinzaine d’années qu’il dicte sa loi en matière de sonorités latinos jamaïcaines.
Textes engagés, musiques épicées, il a derrière lui déjà 5 albums, dont les excellents « Un Poquito Quema’o » qui l’a révélé au grand public, et « Mascaras », son dernier album sorti il y a 3 ans.
Sa musique est à la fois urbaine, un son venu des grandes villes, et teintée de folklore, entre modernité et tradition. Garcia n’a pas son pareil pour maîtriser ces sons venus du Nord et du Sud.
Salsa, cumbia, reggae, mambo, hip-hop, El Sargento est un vrai touche-à-tout et transforme tout ce qu’il touche en or. De ses débuts agités sur la scène alternative française, il a gardé son énergie, son mordant et son côté revendicatif et se sert volontiers de la musique pour cingler les politiques.
Accompagné de ses 2 acolytes (Yvan et Hector, à ses côtés depuis le début), c’est en formule sextet et acoustique qu’il reprend la route pour cette énième tournée.
Guitares, basse, chants, accordéon, clarinette, percussions latines, la brigade est armée… pour nous faire passer une belle soirée. Dans le monde de Sergent Garcia, pas de vainqueurs ni de vaincus, mais une grande fête populaire !
> 2 O’CLOCK ( 1ère partie )
2 O'CLOCK ouvrira la soirée, avec ce même esprit de mixité et d’ouverture musicale.
Trio d’origine boulonnaise, le groupe propose et compose du reggae tendance aborigène, du roots façon ethno. Guitare, batterie, didgeridoo (et chant), l’instrumentation est originale et le résultat réjouissant !
