Paradise Lost est considéré comme un groupe culte par de très nombreux adeptes, non seulement de part son statut de pionnier du Doom Death à l’européenne mais aussi plus largement de part sa faculté à innover d’album en album, n’hésitant pas parfois à complètement changer de paysage musical, quitte à dérouter ses fans.
Ce ne sera pas le cas de l’album studio qui sortira le 1er septembre prochain, « Médusa », et qui promet de revenir aux sources, à ce que Paradise Lost a fait de mieux depuis 15 ans. Un métal primitif, violent et massif, qui vous emporte dans les paysages glacés du Canada, berceau du groupe. Au sommet de son art, le groupe s’embarquera dans une tournée-consécration pour rendre hommage à ses fans dans le monde entier.
Paradise Lost s'est entouré des graphistes de Branca Studios afin d'entourer cette effusion musicale d'une ésthétique aussi réfléchie que l'album. La métaphore de la méduse s'est alors imposée pour Nick Holmes - voix du groupe - qui s'est trouvé séduit par la définition trouvée sur Wikipédia : "essayer d'éviter le regard de La Méduse revient à essayer d'éviter la triste vérité d'un univers sans but."
