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Linkin Park + The Chemical Brothers + Beady Eye + Eels… Main Square Festival

Horaires: Non communiqué

Linkin Park + The Chemical Brothers + Beady Eye + Eels…

 
Retrouvez le Main Square Festival dans notre
[Guide des festivals de juillet]


 

GRANDE SCENE

 

> Linkin Park

Ils seront présents à Arras le 1 Juillet en ouverture du festival pour une date exclusive en France. 

Voilà plus de 10 ans que le groupe propose un son qui lui est propre et qui trouve écho auprès du plus grand nombre. Le style musical originel de Linkin Park est une fusion, le nu metal, entre un son plutôt heavy metal et un son rapcore. Le metal étant interprété vocalement par la voix et les chants rageux de Chester Bennington, et instrumentalement par des guitares hyper-saturées et une ligne de basse plus rythmique que mélodique. Le rapcore, lui, se manifeste au travers du rap de Mike Shinoda et des platines et effets de Joe Hahn. Dans leur second album Linkin Park change assez radicalement de style, passant du Nu metal dont ils étaient considérés comme le groupe phare, au rock alternatif.

Mais comme tout bon groupe actif depuis plus d’une décennie, les membres de la formation rock américaine se devait de questionner leurs envies pour définir ensemble leur avenir. Leur dernier opus sorti en 2010, A thousand sun, a pris un encore un nouveau virage, plus electro, sans pour autant perdre leur attraction, bien au contraire.

 

> The Chemical Brothers

Ils étaient déjà venus en 2008. Ils avaient alors provoqué un déluge sonore et lumineux sur le festival.

The Chemical Brothers sont une légende de l’électro mondiale. Voilà plus de 15 ans qu’il donne à ce style ses lettres de noblesse. Rencontré à l’université au début des années 90, Tom Rowlands et Ed Simmons ne se sont plus quittés depuis. De leur premier album Exit Planet Dust (une référence à leur premier nom “The Dust Brothers”) jusqu’à leur dernier en date, Further, le duo a parcouru le monde avec ses lives palpitants. Et que dire des mythiques Dig your own hole ou encore Surrender, qui ont, à l’instar de Prodigy, fait entrer l’électro dans chaque foyer, et convaincu même les plus sceptiques.

 

 

> Queen of the stone age

Il y a des groupes qui deviennent, en moins de temps qu’il n’en faut pour prononcer leur nom, de véritables icônes dont la postérité se souviendra. QUEENS OF THE STONE AGE est de cette étoffe dont l’histoire de la musique se délecte.

Formé autour d’un ancien membre du groupe américain Kyuss, QOTSA voit le jour à la fin des années 90. Le groupe a depuis connu de multiples compositions et surtout de nombreux invités actifs. Qualifié de “stoner” à ses débuts, ce que Josh Homme réfute, il est apparu bien plus difficile à classer. Rock alternatif, Hard rock, Heavy, Metal alternatif, la discographie des Queens ressemble en réalité à un habile ouvrage musical. Car depuis le début de l’aventure, chacun des albums du groupe a proposé des créations originales et soignées, mais aussi imparables qu’incomparables. Sur l’album “Song for the Death”, on imagine la patte (ou la baguette) de Dave Grohl. On croit reconnaître le style de Shirley Manson, leader de Garbage, ou de Billy Gibbons de ZZ Top, sur les extraits de "Lullabies to Paralize" sur lesquels ils apparaissent ? Pourtant, c’est toujours Josh Homme qui, de l’inspiration puisée de ces rencontres, fabrique de magnifiques écrins dans lesquels le talent de chacun se sublime. D’ailleurs, plutôt qu’un groupe au sens strict du terme, ne serait-il pas plus judicieux d’y voir là un projet musical, dirigé de main de maître par un leader charismatique et infatigable ? En effet, la partition que joue Josh Homme s’apparente à celle d’un chef d’orchestre…

Nous pourrions parler de QOTSA pendant des heures, mais il n’en restera pas moins que la seule chose qui compte, c’est de les écouter et de les voir. C’est pourquoi leur venue au Main Square est un évènement qu’il ne faudra pas manquer.

 

> Limp Bizkit

Le festival accueille cette année encore une des plus grosses pointures du rock américain. LIMP BIZKIT est en effet une des références majeures du neo-metal à l’instar de Korn ou Deftones. Mais au contraire de leur collègues, ce n’est pas de Californie mais bien de la Floride que sont originaires les 5 membres du groupe.

Groupe rock aux influences punk, formé en 94, et rejoint par un Dj en 95, Limp Bizkit s’éloigne pourtant très vite des contraintes du genre. Animé par Fred Durst, la formation évolue à la frontière de plusieurs styles, mélangeant avec classe sonorités hip-hop et rythmes punk. C’est le passage de Korn en Floride qui permettra au groupe d’exploser. Repéré par le producteur Ross Robinson, ils sont choisis pour assurer la première partie d’House of Pain et rencontrent alors les membres de Deftones. Leur premier album sort en 1997, ils enchainent alors une tournée avec Korn. S’en suit le fameux album de la maturité, Significant Other, n°1 du billboard américain en 1999, et qui impose le groupe auprès d’une communauté de fan désormais affirmée. Époustouflant, rageur, explosif, on peut difficilement résumer les prestations du groupe sur scène. Limp Bizkit connaîtra les hautes sphères de la notoriété avec leur 3ème opus dont de nombreux extraits ont servi de bande originale au blockbuster de John Woo, Mission Impossible II.

2 albums et quelques embrouilles plus tard, les floridiens sont toujours là et nous annoncent leur retour très prochainement dans les bacs avec Gold Cobra. Nous pourrons retrouver toutes leurs nouvelles compos ainsi que leurs anciennes bombes lors d’un passage évènement à la Citadelle d’Arras le 1 Juillet. We’ve got have FAITHHHHH !

 

 

> Shaka Ponk

Shaka Ponk est né entre Paris et Berlin au début des années 2000 d’un concept associant musique, images et activisme. C’est aujourd’hui un groupe à part entière qui s’inscrit dans la lignée d’un rock alternatif pugnace et volontiers bruitiste initié par Rage Against The Machine. Quoique fausser compagnie aux étiquetages ne soit une autre de ses caractéristiques.

« Bad Porn MovieTrax », sorti en mai 2009, les a conduit sur les scènes des plus grands festivals. Ils ont réalisé au total plus d’une centaine de dates dont l’Élysée Montmartre et le Bataclan à Paris (complets). Ils étaient également nommés en 2010 aux Victoires de la musique dans la catégorie révélation scène. Shaka Ponk, c'est donc une aventure collective. Le groupe s’est enrichit d’ailleurs d’une chanteuse : Sam intégra le groupe à part entière début 2010.

Le combo est revenus début mars dernier avec un nouvel opus " The geeks and the jerkin’socks " composé de 12 titres dotés de cette rage explosive qui séduit et qui vient toujours du rock. Six vidéos vont accompagner la sortie de l'album. Pour Shaka Ponk il ne saurait y avoir en effet de meilleur moyen pour exprimer ce qui lui tient à coeur que d’utiliser à son profit, quitte à les détourner, les prouesses de la machine, qu’il s’agisse de sons optimisés par l’informatique ou de l’usage de personnages virtuels. Personnages virtuels que l’on retrouvera certainement sur scène, car en live, c’est une véritable foire énergique de son, lumière et vidéo qui attendra le public. Quoi de mieux comme terrain d’expression que la Grande Scène du Main Square en cette première journée du festival ? 

 

> The Gaslight Anthem

The Gaslight Anthem a explosé sur la scène underground punk de New-Brunswick, New-Jersey, en 2007 avec son premier album, "Sink or Swim" (XOXO Records). La sortie en 2008 de l’ambitieux EP, SEÑOR AND THE QUEEN (Sabot Productions) laissait présager l’arrivée du sensationnel THE ’59 SOUND (SideOneDummy Records) qui a été loué par la très exigeante presse musicale britannique. L’album a même été élevé au rang d’ « Album de l’année » par des incontournables tels Q. Magazine, Rocksound et le NME.

Avec leur 3ème opus, “American Slang”, paru en Juin 2010, The Gaslight Anthem a fait un extraordinaire bond en avant. Cet album studio révèle un rock’n’roll puissant perfectionné par deux années de tournée un peu partout sur le globe. Les textes du chanteur/guitariste Brian Fallon sont passés de passionnels à plus personnels, plus introspectifs, sa voix puissante, cassée, mise en premier plan et soutenue par une musique toujours aussi dynamique. Le quatuor continue tout de même à rendre hommage à leurs racines « Jersey-punk » en ajoutant une petite touche de New Wave soul-shaker.

 

> The Pretty Reckless

On est parfois méfiant quand il s’agit des actrices qui souhaitent devenir chanteuses. La réussite est rarement au rendez-vous. Et pourtant cette fois-ci, il convient de reconnaître que Taylor Momsen et son groupe, THE PRETTY RECKLESS, atteignent une qualité inattendue.

Tout démarre en 2008 lorsque l'actrice Taylor Momsen, connue pour son rôle dans la série Gossip Girl, décide de laisser libre cours à son amour de la musique. Elle forme d’abord un premier groupe, vite dissous, avant de recruter Ben Phillips (guitare), Mark Damon (basse) et Jamie Perkins (batterie) pour former The Pretty Reckless en 2009. Le groupe sort en juin 2010 son premier EP, contenant quatre titres, dont « Make Me Wanna Die » astucieusement offert en téléchargement aux fans. Ce single devient rapidement un tube, aidé par sa présence dans le film Kick-Ass. Classé n° 1 des ventes rock au Royaume-Uni, ce titre est le tremplin idéal pour le premier album du groupe.

Conjuguant charme et fougue, Taylor Momsen et ses amis surprennent avec “Light Me Up”, leur premier opus. Sorti début septembre 2010, il condense parfaitement la flamme qui habite leur charismatique chanteuse. Avec une voix puissante et des arrangements chargés en électricité, la musique de The Pretty Reckless évoque les sons de la scène des années 1990, lorsque Courtney Love tenait le haut du pavé avec sa formation, Hole. Et sur la scène, le récent passage du groupe au Splendid de Lille a emporté les suffrages des plus réticents.

The Pretty Reckless ouvrira les festivités ce vendredi 1 juillet sur la Grande Scène et on attend beaucoup d’hystérie…

 

 

 
GREEN ROOM

 

 

> Martin Solveig

2011 n’aurait pu mieux commencer pour Martin Solveig, dans la lignée d’une année 2010 irrésistible. En effet, son dernier single "Hello", enregistré en collaboration avec l’artiste canadienne Dragonette, s’est déjà imposé comme le plus grand succès de sa carrière en occupant depuis sa sortie les plus hautes places des charts en Europe et dans le monde. Il ne pouvait donc rêver meilleure entrée en matière pour son nouveau projet, SMASH, dont il a tenu à se laisser le temps de la réflexion : "Lorsqu'on aborde un quatrième album, c'est important de savoir, à titre personnel, après quoi on court", confie-t-il.

 

       

 

> Beady Eye

C’est désormais inscrit dans la légende du Rock. En ce soir d’Août 2009, alors qu’ils devaient monter sur scène, les frères Gallagher se séparent et mettent ainsi fin à quelques-unes des plus belles pages de la Pop anglaise. Mais Liam Gallagher est un phénix. Près d’un an après, des cendres du groupe, il crée BEADY EYE, formation incluant 4 des anciens membres d’Oasis. Le premier single que le groupe a diffusé, “Bring The Light”, n’a laissé planer aucun doute sur les orientations que le projet allait prendre. À ceux qui espéraient un virage à 180°, passez votre chemin. Car Liam et ses acolytes n’ont pas abandonné leurs guitares, ni leur esprit Rock. Pour la création du premier album de sa nouvelle formation, Liam s’est attaché les services du producteur Steve Lillywhite, qui a notamment travaillé avec U2 sur de nombreux albums dont le récent "No Line On The Horizon", ainsi qu'avec Thirty Seconds To Mars pour "This Is War". La sortie de cet opus, intitulé “Different gears, Still speeding” est prévu pour le 28 février prochain. Au-delà d’une timidité évidente, Selah Sue communique une force et une détermination que l’on ne croise pas si souvent chez une jeune fille de 21 ans.

Pourtant, rien ne prédisposait la jeune belge à une carrière musicale. C’est seulement à l’adolescence que Selah Sue s’est tournée vers la musique. Presque du jour au lendemain… Les atmosphères reggae-ragga qui règnent du côté de chez elle à Leefdaal, près de Louvain, vont rapidement l’influencer. Erykah Badu, MeShell Ndegeocello un peu plus tard, mais surtout les Fugees et, donc Lauryn Hill, son modèle. Selah s’est donc mise à la guitare et, très vite, elle y passa cinq-six heures chaque jour, enfermée dans sa chambre.

Chaude, puissante, profonde, légèrement éraillée, faussement fragile l’instant d’après… la voix de Selah Sue est unique. À coup sûr, c’est ce qui impressionna Milow quand il la découvrit lors d’un Open Mic en 2006 avant de décider de la prendre sous son aile. Comme furent tous aussi bluffés les spectateurs qui purent apercevoir la miss depuis en première partie de The Do, Jamie Lidell, Justin Nozuka, Keziah Jones, Sébastien Tellier… ou au détour de certains festivals (Couleur Café, Les Ardentes, Dour, Pukkelpop, Art Rock à Saint-Brieuc, Eurockéennes de Belfort…). L’avenir appartient à la jeune femme tant son talent brut illumine chacune de ses apparitions. Nous sommes donc ravis de l’accueillir car elle saura vous conquérir !

 

> Eels

Quel plaisir d’accueillir Mark Oliver Everett et ses camarades de EELS à la Citadelle.
Musiciens de talent, les californiens ont depuis leurs débuts pris plaisir à nous offrir de multiples visages.

Premier contrat du label Dreamworks crée par Steven Spielberg et David Geffen, l’éclosion du groupe fût immédiate. Le torturé “Novocaine for the soul” les dévoile aux yeux du monde. Moins de 2 ans après la disparition de Kurt Kobain, le public se laisse toucher par les sonorités étranges et le regard désabusé de E qui transparait sur leur premier album Beautiful Freak. Chaque opus se révèlera le miroir des émotions de Mark aka E. Lorqu’il est affecté par certains travers de l’existence, le résultat est un album intime et lugubre, mais magnifique (Electro-Shock-Blues paru en 1998). Puis viendront le coloré et optimiste Daisies of Galaxy en 2000 ou encore Souljacker en 2001, dont la pochette fera débat aux Etats-Unis post 11 septembre. Après 4 années de silence, le groupe est revenu en 2009 et 2010 avec un triptyque composé de 3 albums : Hombre Lobo puis End Times et enfin Tomorrow Morning.

 

> Selah Sue

Au-delà d’une timidité évidente, Selah Sue communique une force et une détermination que l’on ne croise pas si souvent chez une jeune fille de 21 ans.

Pourtant, rien ne prédisposait la jeune belge à une carrière musicale. C’est seulement à l’adolescence que Selah Sue s’est tournée vers la musique. Presque du jour au lendemain… Les atmosphères reggae-ragga qui règnent du côté de chez elle à Leefdaal, près de Louvain, vont rapidement l’influencer. Erykah Badu, MeShell Ndegeocello un peu plus tard, mais surtout les Fugees et, donc Lauryn Hill, son modèle. Selah s’est donc mise à la guitare et, très vite, elle y passa cinq-six heures chaque jour, enfermée dans sa chambre.

Chaude, puissante, profonde, légèrement éraillée, faussement fragile l’instant d’après… la voix de Selah Sue est unique. À coup sûr, c’est ce qui impressionna Milow quand il la découvrit lors d’un Open Mic en 2006 avant de décider de la prendre sous son aile. Comme furent tous aussi bluffés les spectateurs qui purent apercevoir la miss depuis en première partie de The Do, Jamie Lidell, Justin Nozuka, Keziah Jones, Sébastien Tellier… ou au détour de certains festivals (Couleur Café, Les Ardentes, Dour, Pukkelpop, Art Rock à Saint-Brieuc, Eurockéennes de Belfort,…). L’avenir appartient à la jeune femme tant son talent brut illumine chacune de ses apparitions. Nous sommes donc ravis de l’accueillir car elle saura vous conquérir !

 

> Tame Impala

Le groupe que nous vous proposons est jeune puisque la formation n’existe que depuis 2007. Mais ils sont bourrés de talents et l’écoute de leur musique peut vous propulser dans un univers parallèle.

Originaires de Perth, en Australie, les 3 garçons définissent leur cité comme l’une des villes les plus isolées du monde. Cela explique certainement pourquoi ils s’affirment dans un rock psychédélique qui n’est pas sans rappeler les plus belles heures de la fin des années 60. Affichant haut et fort l’influence des Pink Floyd, Byrds ou Jefferson Airplane, ils ont naturellement sorti un premier opus, intitulé Innerspeaker en octobre 2010. Ces compositions sont un savant mélange de mélodies pop, de tornades roses et de refrains acidulés. Un son riche et flamboyant. Il suffit de vous laisser emporter par les épopées que peuvent être It’s not meant to be ou Expectation pour en être convaincu.

Dans une période qui connaît un certain revival psychédélique, ils se démarquent pourtant par le soin apporté à chacune des touches sonores qu’ils appliquent. Et cela n’a rien d’étonnant quand on sait que la production de leur morceaux a été confiée à 2 importants bidouilleurs de sons psycho-actifs que sont Tim Holmes de Death In Vegas et Dave Fridmann, de Mercury Rev et ayant collaboré aux oeuvres de MGMT.

Il est donc important de préparer son voyage sur la Green Room, en ce vendredi 1 Juillet. Car si nous vous aurons prévenu du départ, il nous sera impossible de prévoir quand, ni dans quel état se fera votre retour sur terre après ce trip planant et coloré, proposé par TAME IMPALA.


> Warpaint

Attention, vous allez être touché par la Grâce. En effet, WARPAINT est un projet féminin, absolument lumineux. Conçu à Los Angeles (Californie), Warpaint se forme le jour de la Saint-Valentin 2004 autour d'Emily Kokal (chant, guitare), Theresa Wayman (guitare) et des soeurs Jenny Lee Lindberg (basse) et Shannyn Sossamon (batterie).

En 2008 sort un premier EP autoproduit, Exquisite Corpse, produit par Jake Bercovici et mixé par John Frusciante. Influencé autant par le psychédélisme que le post-punk et le shogazing, Warpaint se démarque des groupes locaux par sa production rétro .Josh Klinghoffer (futur Red Hot Chili Peppers) vient en appoint sur un titre.

A l'automne 2009, la batteuse est remplacée par Stella Mozgawa (batterie). Le groupe, signé par Rough Trade, fait les premières parties américaines de The XX. Le 7 août, Warpaint participe au festival Lollapalooza à Chicago.

Un an plus tard apparaît le premier album The Fool, combinant diverses influences. L'album produit par Tom Biller obtient de bonnes critiques et un certain succès dans le milieu indépendant. Parallèlement le groupe réalise une version de « Ashes to Ashes » pour la compilation-hommage à David Bowie We Were So Turned On.

Depuis plus de 2 ans, les filles n’ont pas arrêté de tourner et cette année elle passerons par Arras. C’est avec beaucoup d’excitation et d’envie que nous les retrouverons le 1 Juillet au Main Square Festival en ouverture de ces 3 jours inoubliables.

>> Programmation complète des 3 jours du festival 

 

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