> Madjo revient avec un nouvel album « Invisible World ». Elle s’inscrit dans la lignée de ces artistes chercheurs, qui explorent la matière sonore sans barrière aucune, qu’elle soit électronique ou plus organique, la magie opère au fil des titres. Les rythmes prédominent, créant une urgence, une obsession entêtante. Le tout se fond dans la profondeur de sa voix envoutante... Entre Björk, Nina Simone et Fiona Apple.
> Depuis le 8 juin 1924, nous sommes sans nouvelles de George Mallory et Andrew Irvine, aperçus une dernière fois aux alentours de 12h50 alors qu’ils achevaient l’ascension de l’Everest. Leur disparition a t’elle un lien avec les deux E manquants à la pop magnétique du groupe Evrst ? « The Hills », « Jet-Lag », « The Ship » … Aucun doute, le voyage a bel et bien commencé avec Evrst, filant droit et haut dans une cordée tenue par Flight Facilities, Broods et La Roux. A l’écoute d’Evrst, la peur du vertige disparaît sous nos pieds tout comme la crainte de leur irrésistible avalanche électro-pop implacable et atmosphérique.
> Awir Leon réunit samples poussiéreux et sonorités acoustiques avec une approche aventureuse qui s’inspire de la scéne électro, pour créer un univers cinématique ou sa voix parfois trouve sa place. Il est également un tiers du groupe Unno et membre du collectif dunkerquois Jayfly.
