Dirty Deep laboure un blues marécageux, gras, allant parfois vers la folk ou le rock. « One man band » depuis début 2010, il parcourt les routes pour tenter de répandre sa religion. Une musique ? Mais pas seulement : surtout un mode de vie ! Sections rythmiques faites maison, harmonica et chant sont ses moyens de rédemption. Dirty Deep est influencé par les maîtres du style comme Sonny Boy Williamson II, John Lee Hooker, Son House mais aussi par des artistes plus récents comme Scott H Biram, Left Lane Cruiser, Mark Porkshop Holders.
Après la sortie de son premier album « Back To The Roots », il part en tournée ; road trip qui sera un peu sa transaction avec le diable. En effet il rencontre quelques une de ses idoles au « Blues, Rock, Folk Festival » de Binic, lui permettant de s’imprégner du savoir de ses références dans le milieu blues. Aujourd’hui Dirty Deep se mue sur scène en duo avec le batteur du groupe de Hip-Hop « Art District », Geoffroy Sourp, pour une explosion scénique sans pareille.
Des pains dans ta gueule. Lancer de guitares, de bières, de batteries.
"On a d’abord pensé à The Fall, pour ce je-m’en-foutisme hargneux. Et puis à Electric 6, pour la science du lâcher de bière sur le dancefloor. Et puis à Java, pour l’accordéon. Et là, on s’est dit qu’on commençait tout de même à s’égarer. Château Brutal ne respecte rien ni personne, prend Chateau Marmont à la pétanque quand ils veulent – et visera la tête, évidemment. Le mieux, donc, c’est de voir la bête sur scène, incroyable machine dévastatrice, gonflée d’énergie rock’n’roll "
Les nuits secrètes
